Invité sur France 2 ce mercredi soir, Nicolas Sarkozy a pu proposer ses idées de campagne, mais aussi parler des regrets sur sa soirée au Fouquet’s, le soir de son élection en 2007. A propos de cela, le candidat adverse François Hollande vient de faire une déclaration assez inattendue à la radio de France Inter !
François Hollande touché ?
Mercredi soir, le Président de la République a pu annoncer son programme et ses idées durant une intervention sur France 2… Donnant ses différents points concernant sa campagne, celui-ci a finalement été interrogé à propos d’un moment en particulier. Souvenez-vous, en 2007 lorsque Nicolas Sarkozy a été élu, il s’est rendu pour fêter sa victoire, au restaurant huppé de la capitale parisienne : Le Fouquet’s. Pendant plusieurs heures et entourés de ses conseillers et de ses amis, le Président avait alors attendu une femme : Cécilia. Alors que durant ce temps, les français eux, l’attendaient place de la Concorde.
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Seulement cette soirée, avec les nombreux mouvements des journaux est devenue très vite un évènement un peu bling bling. Et aujourd’hui le Nicolas Sarkozy déclare que ce moment a été un « véritable feuilleton » :
« Si c’était à refaire, je ne reviendrais pas dans ce restaurant » a t’il avoué hier soir.
Concernant ces propos, on aurait pu s’attendre à une critique plus radicale de la part de son adversaire François Hollande. Malgré ça, celui-ci a déclaré que les propos Nicolas Sarkozy, sur le plateau de France 2 hier soir l’avaient « touché » parce qu’il y avait « quelque chose d’émouvant« . Interviewé sur France Inter, l’homme a donc ajouté :
« Oui, ça m’a touché. Il y a un côté petit garçon qui vient de dire qu’il ne retournerait plus au Fouquet’s la fois prochaine. Il a même balbutié, bafouillé. Il y avait quelque chose d’émouvant de celui qui était allé au Fouquet’s il y a cinq ans et qui promettait de ne plus y revenir »
Bien évidemment le combat ne peut finir ainsi… C’est d’ailleurs pour cela que François Hollande a aussitôt déclaré :
« Eh bien, il n’aura pas besoin d’y revenir, puisque j’espère qu’il ne sera plus président »
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