Bonne nouvelle mesdemoiselles (et messieurs) ! Le calendrier des Dieux du Stade 2012 sera mis en vente ce jeudi 29 septembre. Et les premières photos viennent d’apparaitre sur la Toile ! Hum …
Un nouveau monde !
Réalisé par Max Guazzini et François Rousseau, ce nouveau calendrier comporte 42 photos couleurs, sur lesquelles les les sportifs nus incarnent les seuls survivants d’un monde qui a disparu. Ils essayent d’embarquer sur un bateau à destination d’horizons nouveaux. Telle est la thématique de ces quelques photos !
De nombreux athlètes aux corps parfaits !
Dans ce calendrier, nous pourrons admirer la musculature de nombreux joueurs du Stade Français tels que Julien Arias, Jules Plisson, Paul Sackey, Antoine Burban, Laurent Sempéré, Dimitri Szarzewski, Alexandre Flanquart, mais également Fulgence Ouedraogo (Montpellier), Rémy Martin (Montpellier), Alexandre Lapandry (Clermont), Henry Chavancy (Ile de France), Benjamin Lapeyre (Toulon), Benjamin Dambielle (La Rochelle), Yann Lesgourgues (Biarritz), Marc Baget (Bayonne), Cédric Coll (Aix en Provence), Noah Cato (Northampton) …
Une polémique !
Ce calendrier fait l’objet d’une petite polémique dans la mesure où le président du Racing Club Métro 92 (club rival du Stade Français), Jacky Lorenzetti, déplore l’apparition de l’un de ses joueurs, en l’occurence Henry Chavancy, dans ce calendrier :
Que le Stade Français fasse commerce d’un calendrier où ses joueurs posent à poil, nous n’avons rien à dire. Cette histoire n’est pas la nôtre, ces « Dieux du stade » ne sont pas de notre panthéon. Qu’un joueur du Racing se retrouve, parmi d’autres joueurs d’autres clubs, dans ce calendrier 2012, nous disons alors clairement NON. Pas d’accord !
Cependant, Thomas Savare, le président du Stade Français, s’est empressé de lui répondre :
Je regrette que Monsieur Lorenzetti polémique au sujet de notre Calendrier des Dieux du Stade. Démarré en 2001 pour fêter le 10ème titre du Championnat de France du Stade Français Paris, cet ouvrage est devenu depuis un rendez-vous incontournable des joueurs du Club et leurs invités. Je comprends que le succès fulgurant du Calendrier des Dieux du Stade, qui s’est inscrit dans la durée avec plus de 1,5 million d’exemplaires vendus en France et à travers le monde en 10 ans, puisse susciter des jalousies. Or même ceux qui ne partagent pas forcément l’approche un brin décalée du Stade Français Paris reconnaîtront que le Calendrier des Dieux du Stade a contribué à populariser le rugby au-delà de ses frontières traditionnelles !