L’attaquant du Barça, Lionel Messi, a été mis en examen avec son père par le Ministère des Finances pour fraude fiscale.
Lionel Messi et son père mis en examen
Le père et le fils ont été tous les deux mis en examen aujourd’hui pour fraude fiscale. Selon le Ministère des Finances, ils n’auraient pas payé les 4 millions d’euros qu’ils devaient. La somme correspond aux droits à l’image du joueur entre 2006 et 2009. Une somme importante qui aurait été, selon certains journaux espagnols, liquidée vers des société et des paradis fiscaux afin d’échapper aux impôts. La fraude fiscale est assez importante mais elle reste à prouver. Lionel Messi et son père sont convoqués devant le juge pour le 17 septembre prochain. En attendant, le joueur continue de nier et de se défendre de toute fraude.
Le joueur se défend
Il y a plusieurs jours, deux journaux espagnols révélaient que le Ministère des Finances souhaitait poursuivre Lionel Messi et son père pour fraude fiscale. L’annonce a fait l’effet d’une bombe pour le joueur qui a pourtant une très bonne image. Lui qui a été 4 fois Ballon d’Or et qui tient une image de gendre idéal, pourrait bien passer pour un voleur. Les fraudes fiscales sont nombreuses et concernent pas mal de monde. Afin d’éviter les impôts sur leur revenus, certaines personnes décident de les placés sur des comptes à l’étranger. Ainsi, les revenus du joueur concernant son droit à l’image aurait échappé à l’impôt espagnol. Une fraude que le Ministère des Finances veut mettre à jour et corriger. Mais de son côté, Lionel Messi nie toute fraude. La semaine dernière, à l’annonce de cette poursuite, il s’était même défendu sur son compte Facebook :
Nous apprenons par la presse des actions initiées par le procureur espagnol. C’est quelque chose de surprenant car nous n’avons jamais commis d’infraction. Nous avons toujours respecté nos obligations fiscales en suivant les recommandations de nos conseillers fiscaux qui seront chargés de clarifier cette situation.
Le joueur a-til consciemment détourné son argent ou bien est-il victime d’une mauvaise gestion de la part de ses conseillers ?